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Alain Finkielkraut un nouvel Académicien

Alain Finkielkraut fait l'actualité avec sa demande d'être élu à l'académie française .

L’élection jeudi 10 avril du philosophe Alain Finkielkraut à l’Académie française s’annoncait houleuse. Certains académiciens contestant l’arrivée de cet intellectuel médiatique et controversé sous la Coupole. Cette agitation autour de sa candidature ne devrait pas déplaire à  cet anticonformiste « mu par la volonté aristocratique de déplaire », selon Pascal Bruckner.

A 64 ans, « Finkie » continue de déchaîner les passions. Pourfendeur du politiquement correct, critique de la modernité, l’auteur de « La Défaite de la pensée » il est admiré par les uns, accusé d’être réactionnaire par les autres. Son dernier livre, « L’identité malheureuse » (Stock), sur l’identité nationale et l’immigration, a suscité de vives polémiques. Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, s’était opposé au philosophe sur la question de l’intégration dans « Des paroles et des actes » sur France 2.

(En fait c'était surtout le présentateur qui avait fait du zèle, Valls n'avait pratiquement pas contredit Alain Finkielkraut il lui avait surtout reproché d'être pessimiste. Un ministre ne peut être pessimiste avait-il même habillement remarqué.)


« Si Finkielkraut n’est pas élu jeudi, je ne mettrai plus les pieds à l’Académie », a prévenu Jean d’Ormesson (selon Le Figaro). Parmi les partisans du philosophe Pierre Nora, Max Gallo ou Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel de l’institution fondée en 1635 par Richelieu.


Fils d’un déporté survivant d’Auschwitz, Alain Finkielkraut est né le 30 juin 1949 à Paris dans une famille juive d’origine polonaise. Normalien, agrégé de lettres et professeur de philosophie, notamment à l’Ecole polytechnique jusqu’à l’an dernier, il voue aux lois de la République un respect absolu.


Source Les Echos

Nota bene : Il a bien été élu et Jean d'Ormesson n'a pas eut son excuse pour ne plus se déplacer au quay Branly bien ébranlé


Pourquoi Alain Finkielkraut est-il controversé ?

Il défend la culture française ! Voilà le pécher impardonnable
« Une partie de la gauche a perdu la raison... et la mémoire »

Après l'émission, Des Paroles et des Actes du jeudi 6 février, Mehdi Ouraoui, ancien directeur de cabinet d'Harlem Désir et Naïma Charaï, présidente de l'Agence national pour la cohésion sociale et l'égalité des chances (ACSE), membres du conseil national du PS, (Des vedettes donc, des mètres à panser) ont saisi le CSA. Ils qualifient l'intervention d'Alain Finkielkraut «d'inacceptable» et «dangereuse». Ils s'inquiètent de l'usage par le philosophe de l'expression «Français de souche», «directement empruntée au vocabulaire de l'extrême droite».

Réponse d'Alain Finkielkraut :

«Je suis totalement abasourdi. Hier soir, lors de l'émission Des paroles et des actes, j'ai dit que face à une ultra droite nationaliste qui voulait réserver la civilisation française aux Français de sang et de vieille souche, la gauche a traditionnellement défendu l'intégration et l'offrande à l'étranger de cette civilisation.

 

La gauche en se détournant de l'intégration abandonne de fait cette offrande.

 

Manuel Valls a expliqué que nous avions tous trois -lui-même, David Pujadas et moi - des origines étrangères et que c'était tout à l'honneur de la France.

 

J'ai acquiescé mais j'ai ajouté qu'il «ne fallait pas oublier les Français de souche». L'idée qu'on ne puisse plus nommer ceux qui sont Français depuis très longtemps me paraît complétement délirante.

 

L'antiracisme devenu fou nous précipite dans une situation où la seule origine qui n'aurait pas de droit de cité en France, c'est l'origine française.

 

Mes parents sont nés en Pologne, j'ai été naturalisé en même temps qu'eux en 1950 à l'âge de un an, ce qui veut dire que je suis aussi Français que le général de Gaulle mais que je ne suis pas tout à fait Français comme lui.

 

Aujourd'hui, on peut dire absolument n'importe quoi! Je suis stupéfait et, je dois le dire, désemparé d'être taxé de racisme au moment où j'entonne un hymne à l'intégration, et où je m'inquiète de voir la gauche choisir une autre voie, celle du refus de toute préséance de la culture française sur les cultures étrangères ou minoritaires.

L'hospitalité se définit selon moi par le don de l'héritage et non par sa liquidation.»

Enfin ! des paroles censées ! Pourquoi détruire ce qui a permis à tant d'étrangers de venir s'installer en France et d'y prospérer ? Pourquoi vouloir introduire en France ce qui marche si mal dans d'autres pays ? Pourquoi nier l'hospitalité française ? Il y a une limite il est temps de demander à ceux qui viennent s'installer en France d'accepter la culture française ou de s'en aller dans les pays qui acceptent leurs propres cultures qui ne sont pas de mise en France pays laïque prônant les droits de l'homme et l'égalité de tous. Les communautarismes détruisent cette égalité si difficile à obtenir.


Si c'est cela que le politiquement correcte appel des propos d'extrême droite alors pour eux  tous les honnêtes gens sont d'extrême droite et c'est bien ce qu'ils prétendent en essayant sans cesse de stigmatiser les français honnêtes.




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