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Un jour d'épaules nues où les gens s'aimeront (Louis Aragon)

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Sommaire

Biographie

La jeunesse de Napoléon

La campagne de Russie

LA BIOGRAPHIE DE NAPOLÉON BONAPARTE

Passé l'enfance, Bonaparte intègre l'école militaire de Brienne en 1779 et apprend, solitaire et studieux, le métier de soldat. (La pauvreté, les privations et la misère sont l'école du bon soldat. :Extrait d'une Lettre à Joséphine de Beauharnais)
Jeune officier à la Révolution, il fréquente les jacobins.

Remarqué en 1793 lors du siège de Toulon, il épouse Joséphine de Beauharnais en 1796 et se voit confier l'armée d'Italie alors moribonde. En avril 1797, il défait les armées italo-autrichiennes, et acquiert le rang de héros national, confirmé par la Campagne d'Égypte en 1798.

En 1799, il participe avec Sieyès au coup d'Etat du 18 Brumaire puis devient Premier Consul.

Fort de pouvoirs absolus, il réforme le pays

- 1800 : corps préfectoral, Banque de France.

- 1801 : Concordat.

- 1803 : franc germinal

- 1804 : Code civil

Se fait sacrer Empereur par Pie VII, le 2 décembre 1804. Divorcé, il épouse l'archiduchesse Marie-Louise d'Autriche, qui lui donnera un fils en 1811. Les coalitions européennes se succèdent alors pour tenter de briser son hégémonie. La Grande Armée tient bon (Austerlitz en 1805 ; Wagram en 1809) jusqu'à la fatale campagne de Russie, en 1812.

Affaibli, Napoléon 1er est acculé à l'abdication le 6 avril 1814 et s'exile sur l'île d'Elbe. De retour des "Cent jours", il est défait à Waterloo le 18 juin 1815, et part en exil forcé sur l'île anglaise de Sainte-Hélène jusqu'à la fin de ses jours

En savoir plus : Les héritiers de Napoléon

 

Salut à toi Napoléon Bonaparte, formidable et infatigable travailleur, ton intelligence supérieure a donné à la France une structure administrative de haut niveau. Grand précurseur de l'Europe tu aurait pu être invaincu si comme Alexandre le grand tu étais mort plus jeune.

Harcelé par les Anglais qui t'ont obligé à la guerre jusqu'au bout pour maintenir la paix , quel paradoxe ! Puis qui t'on poussé à la faute avec la campagne de Russie ou tu as perdu le sens des réalités ainsi qu'à Waterloo. Toujours ces Anglais , qui n'en finissent pas de mettre la pagaille en EUROPE, et qui s'ils t'on traité de boucher eux fournissaient la viande abondament.

Ceci dit j'aime beaucoup le peuple Anglais, nos demis cousins par Guillaume le Conquérant; leur fabuleux Shakespeare, Haendel, Purcell, Newton, Tennyson, Percy Bysshe Shelley plus connu par sa 2ème femme Mary Shelley qui écrivit Frankenstein ou le Prométhée moderne, Keats, Lewis Caroll, Dickens, Kipling, Darwin, Constable, Fleming, Oscar Wild, Conan Doyles et Sherlock Holmes, Agatha Christie et son détective Belge Hercule Poirot, sans oublier mister Bean et leur sens de l'humour so british et leur art de trouver toujours ce qu'il y a de meilleur dans le monde : La côte d'Azur l'hivers vers 1900, le porto, le bordeaux, et j'en oublie des tonnes. Mais puisqu'ici nous faisons l'éloge de Napoléon Bonaparte qu'ils sachent que les mangeurs de grenouilles et de colimaçon seront toujours là, et d'ailleur si nous n'y étions plus il leur manquerait quelque chose et réciproquement.

La campagne de Russie

Napoléon n'aurait jamais du s'attaquer à la Russie, mais lorsque les Russes décidèrent d'envahir la Pologne c'est probablement ses sentiments pour une belle polonaise qui lui avait donné un fils qui l'influèrent.


La Comtesse Maria Laczinska, plus connue sous le nom de Marie Walewska (1786-1817), lors de la terrible campagne de Pologne en 1807, fut envoyée vers Napoléon pour plaider la cause Polonaise. Elle fut entendue et devint même la maîtresse de Napoléon. Elle était l'épouse du comte Colonna Walewski, grand noble polonais (Napoléon ressuscita la Pologne sous la forme du Grand Duché de Varsovie). Marie donna un fils adultérin à l'empereur, Alexandre, comte Walewski.


La grande armée était la plus forte mais le Tsar de toutes les Russies Nicolas 1er fut obligé d'écouter le vieux maréchale Koutouzoff, celui que l'on n'avait pas écouté à Austerlitz, dont la popularité en Russie était devenue formidable. Les armées dirigées par Koutouzoff se dérobérent systématiquement à un combat qu'elles auraient perdu. Une fois Napoléon arrivé à Moscou le Tsar sacrifia sa capitale en la faisant incendier. La politique de la terre brûlée obligea Napoléon a faire demi-tour, il était trop loin de ses bases arrières et l'hivers Russe fut à la hauteur de sa réputation. Les armées du Tsar alors envoyèrent des commandos (les cosaques) harceler les arrières de l'armée napoléonienne qui y laissèrent beaucoup de victimes. La traversée de la Bérézina fut catastrophique un pont ayant cédé de nombreux soldats furent noyés dans les eaux glacées, puis l'armée brûla les deux ponts pour empêcher les cosaques de les suivre en abandonnant les retardataires qui n'avaient pu traversé et qui furent massacrés.

La Grande Armée de Napoléon était forte de près de 700 000 hommes au départ. Il en revint environ 50 000.

Les poux vainqueurs de Napoléon

Une fosse commune de plusieurs grognards a été découverte récemment dans les plaines de Russie ou tout proche, et là les laboratoires ont analysés ce qui restait des cadavres, de leurs cheveux et de leurs vêtements et là, ô surprise, on a constaté qu'ils étaient décédés des suites de l'invasion de leurs poux qui les avaient infectés.

Les alliés du Tsar étaient : LES POUX !!!

Pour en savoir plus


PS : Je découvre avec effarement que Napoléon avait rétabli l’esclavages dans les colonies françaises. Il voulait lutter a armes égales avec l’Angleterre qui elle n’avait pas abolit l’esclavage. (décidément je ne lâcherais pas les GB pronnoncer jibi ) Mais cela ne peut constituer de circonstance atténuante. Le grand homme fit reculer l’honneur des français. Honte a lui pour cette action. Peu d’années plus tard la France abolit une deuxième fois l’esclavage et cette fois de manière définitive. Nos frères qui souffrirent de ces pratiques barbares mais courantes dans les temps anciens ne doivent pas condamner les français d’aujourd’hui. Les ancêtres des français ont luté aux premières loges pour les droits de l’homme et les aider tous les peuples à accéder à l’égalité. Il ne faut pas l'oublier non plus.

Un immense chemin a été parcouru. Un immense chemin reste à parcourir, faisons le ensemble sans se haïr. Votre amertume est grande certes mais nous sommes de bonne foi nous les hommes de bonne volonté. Allons ! Ensembles nous seront plus forts.

Et pour conclure une citation de Gandhi : «L'hymne de la haine ne profite pas à l'humanité. »

Bon je la replace de partout celle-là, mais elle le mérite bien.


 

 

 

La jeunesse de Napoléon

 

Le 15 août 1769 est né Napoleone Buonaparte, plus connu sous son nom francisé de Napoléon Bonaparte.

L'incertitude plane sur le lieu de naissance, dans le maquis corse ? ou dans la maison familiale d'Ajaccio ? Elle plane aussi sur la date. La date officielle, qui coïncide avec la fête de l'Assomption, relève d'une propagande tardive.

Napoléon est le deuxième enfant de Charles et Laetitia Buonaparte après Joseph né en 1768 et avant Lucien (1775), Elisa (1777), Louis (1778), Pauline (1780), Caroline (1782) et Jérôme (1784).

Cette famille de la petite noblesse corse est d'origine italienne et son nom Buona parte, donne en français, Bon parti, et le fait est qu'il fut "un bon parti". Les affinités de Napoléon avec l'Italie le rendirent très populaire dans ce pays.

Grâce à l'appui du gouverneur, le comte Louis de Marbeuf, Napoléon et son frère Joseph reçoivent une bourse pour étudier au collège d'Autun puis à l'école militaire de Brienne le chateau.

Napoleone ne laisse pas un souvenir particulier à ses maîtres. On sait qu'il manifeste de bonnes dispositions en maths et un goût certain pour l'Histoire. Il doit faire de gros efforts pour maîtriser la langue française, se débarrasser de son accent et échapper aux moqueries de ses condisciples.


En septembre 1785, à 16 ans, il est nommé lieutenant en second d'artillerie au régiment de La Fère. Pendant de longues années, il traîne son ennui de garnison en garnison, dévorant livres sur livres, se passionnant pour la pensée philosophique de Rousseau, et rêvant surtout d'un destin en Corse, aux côtés du chef nationaliste Pascal Paoli.

La prise de la Bastille et les débuts de la Révolution l'indiffèrent. Il obtient de longues permissions en Corse, auprès de sa famille, se fait élire lieutenant-colonel de la garde nationale d'Ajaccio et devient une sommité insulaire. Puis il se brouille avec Paoli et doit s'exiler avec toute sa famille en juin 1793 sur le continent.

Désormais, c'est en France qu'il doit faire son chemin. Rallié aux Jacobins et ami du jeune frère de Robespierre, il commande l'artillerie au siège de Toulon, insurgée contre le pouvoir central. Son action décisive dans la prise de la ville le 19 décembre 1793 lui vaut d'accéder trois jours plus tard au grade de général de brigade à 24 ans. L'année suivante, la chute de Robespierre le compromet aux yeux des nouveaux gouvernants. Privé de son grade et même un moment emprisonné. Il vit dans une demi-misère avec sa nombreuse famille à charge.Au bout du rouleau, il a toutefois la présence d'esprit de refuser une réintégration dans l'armée pour aller combattre les insurgés vendéens et envisage un moment d'aller se mettre au service du sultan turc.

Il est sauvé par ses amitiés avec le Directeur Barras. Ce dernier fait appel à lui pour réprimer l'émeute royaliste du 13 Vendémiaire An IV (5 octobre 1795). Il prévient qu'il y aura des morts. Il fait mitrailler les insurgés sur les marches de l'église Saint-Roch. Cela lui vaut une élévation au grade de général de division et le commandement de l'armée de l'intérieur.

Les officiers lui attribuent le sobriquet méprisant de «général Vendémiaire». Il rencontre la séduisante et influente Joséphine Tascher de la Pagerie, veuve du général de Beauharnais, guillotiné sous la Révolution. Elle est six ans plus âgée que lui et a déjà deux enfants, Eugène et Hortense (future mère de Napoléon III), elle est aussi la maîtresse de Barras.

Amoureux fou, Napoléon lui demande sa main. Il l'épouse sans formalités le 9 mars 1796. Quelques jours plus tard, il part pour l'armée d'Italie dont il a reçu le commandement en bonne partie grâce à l'entregent de son épouse. Rien ne l'arrêtera plus dans sa prodigieuse ascension jusqu'au sacre du 2 décembre 1804.

NOTA : Avez-vous entendu dire que le "géniteur" de Napoléon ne serait pas "l'officiel" Charles Bonaparte mais l'amant (ce n'est un secret pour personne..) de Letizia, le comte Louis-Charles-René de Marbeuf? Que la bizarre histoire de la naissance de Napoléon dans le maquis corse pourrait dissimuler son probable lieu de naissance dans le....maquis breton ! Le séjour de Letizia au château de Pen Ar Vern en Sainte-Sève (Sud-Ouest de Morlaix), au début de 1770, est toujours présent dans l'histoire locale.

Il paraît que Napoléon lui-même, en était convaincu. Un être comme lui ne pouvait qu'être issu d'un personnage important. Les lois de la génétique ne sont pas ce que l'on croit souvent à tord. Un géni peut très bien surgir dans une famille ordinaire, tout au moins cela arrive et si des doutes sont permis par contre on peut constater de façon certaine qu'a l'inverse un géni n'engendre presque jamais un autre génie. En tout cas cela satisfaisait l'orgueil du grand Napo.

 

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