La recherche du bonheur

la dféfinition du bonheur nous dit : un état durable et stable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, l'inquiétude et le trouble sont absents.

 

Nous parlons souvent du bonheur et de sa quête, nous sommes d’accord sur un point, il est difficile à atteindre

 

Beaucoup le cherchent où il n'est pas en le cherchant dans la facilité alors qu'il se trouve souvent dans l'épreuve, l'effort, la joie du travail bien fait, du travail accompli ou d'un obstacle surmonté. Les couples aujourd'hui qui ne savent plus, ne veulent plus surmonter les crises qui les agitent n'atteindront jamais le bonheur.

 

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Mais la mentalité actuelle qui crache sur le travail, refuse tout effort, toute concession et se laisse aller à l'égoïsme, ne trouvera jamais le bonheur d'autant que la jalousie constitue un handicape fatal car pour un jaloux il ne suffit pas d'être heureux, encore faut-il que le voisin ne le soit pas.

 

Ce n’est pas allongé dans un hamac sous des cocotiers buvant un wiski qu’on trouve le bonheur, c’est en arrivant au sommet de la montagne à gravir ou dans le sourire qu’in a réussi à redonner au visage aimé.

 

Réflexions du philosophe Alain dans son ouvrage « Propos sur le bonheur »

« Penser, c'est vouloir ». Cette phrase est un des traits de la philosophie d'Alain.

Le bonheur n'est pas un fruit dont on goûterait et jugerait de sa valeur, le bonheur se veut, alors, il peut se faire.

Hegel affirme que l'âme immédiate est comme enveloppée de tristesse, Alain nous dit que l'on peut se délivrer du désespoir par l'action. Car c'est l'action qui nous libère de cette complainte.

 

Lorsque le cerveau nous rend tristes, « scier du bois » est une bonne manière d'oublier cette tristesse.

La tristesse selon René Descartes, n'est que le fait d'une physiologie mal disposée. Alain décide de considérer sa tristesse « comme un cor au pied ». On « casse » alors les ailes de la tristesse pour la renvoyer dans le corps. La tristesse devient alors une stupeur muette.