Bonjour. visiteurs jour : 268
Au président
Beauté santé
Infos loisirs
Ensemble
Jean
Informatique
Einstein
Santé corona
A la poésie, l'art, la musique, la littérature, la sagesse, au romantisme, toutes ces choses qui font que la vie vaut la peine d'être vécue !
Accueil - Covid-19 20 - Musique - Culture - Classique - Ecologie - Femmes illustres - Les Hommes - Humains - Poésie - Plan du site -
"Bon d'accord l'éther n'existe pas, néanmoins les expériences de Michelson et Morlaix malgré ce qu'on en dit on mis en évidence un vent d'éther "résiduel" de 8 km/seconde. D'accord il n'y a pas d'effet Allais, d'accord je suis un Ane et après ?
Un jour d'épaules nues où les gens s'aimeront (Louis Aragon)
Et si la déviation des rayons lumineux à proximité du soleil était due au déplacement de l'éther avec lui ?
Le Soleil a un champ magnétique... ça pourrait expliquer les choses...
Messieurs les physiciens, pourquoi le champ magnétique terrestre est-il fichu comme l'a mesuré Gauss ? "La théorie du potentiel décrit, à partir de l'équation de Laplace, qu'à cet aimant droit se superposent en second ordre un quadripôle, au troisième ordre un octopôle, etc., jusqu'à l'infini. Cette décomposition dite en harmoniques sphériques admet des coefficients qui pondèrent l'importance à attribuer à chaque aimant. Le premier à avoir mesuré leur valeur est Gauss à partir d'un maillage d'observatoires magnétiques répartis autour de la Terre, puis d'en tirer des études statistiques.".
vous avez pu lire que l'effet Allais n'existe pas...
ll est intéressant de regarder les théories suivantes :
- La théorie de l'onde pilote de Louis De Broglie :
http://fr.wikipedia.org Théorie_de_l'onde_pilote
- La théorie récente de l'univers holographique qui fournit une explication sur la nature intrinsèque de la gravité: Correspondance AdS/CFT dualité de Maldacena principe holographique
- Les divers articles du physicien Erik Verlinde (résumé de vulgarisation : Erik Verlinde : la gravité nÂexiste pas !
La relativité générale est correcte loin du centre de gravité des particules, cependant poussée dans ces retranchements (les trous noirs), la RG montre ses limites et oblige à prendre en considération la physique quantique.
Je pense que l'idée de vortex de quantas comme modèle des particules (et de leur champ) est plutôt bonne.
Tout ceci oblige à considérer qu'une particule n'existe que couplée à une antiparticule (on doit donc systématiquement prendre en compte le système "mécanique" des 2 entités - électron/position ou photon horaire/photon antihoraire => meilleure appréhension de la non localité ou intrication).
En résumé, la vitesse de la lumière est la vitesse de propagation des figures géométriques formés par ces vortex de quantas, lesquels sont des régimes dynamiques bipolaires (une particule et son antiparticule à hélicité - ou spin - opposée) et à transformation radicale (effondrement de la fonction d'onde) lorsque les 2 particules se rencontrent.
Quant à la cyclicité liée aux fréquences, elle procède d'une structure elle aussi localement torique des vortex de quantas présents dans le vide, vortex qui se forment en raison de différentiels rotationnels intervenant avec l'éloignement aux couples "particule/antiparticule"
La constante de la vitesse de la lumière peut très bien n'être qu'une illusion !
Un nuage électronique mesure la durée d'un déplacement en la comparant à sa période propre (1/f <- fréquence propre). De plus, il n'interagit qu'avec un photon de même fréquence. Par conséquent, chaque interaction donne une mesure de la vitesse du photon absorbée comme étant la distance parcourue D divisée par k fois 1/f ou encore D.f/k (le temps mesuré est delta(t) = k/f).
Supposons que la vitesse de propagation de la lumière n'est pas constante, mais est celle donnée par De Broglie en remplaçant le temps de la Relativité Restreinte par l'inverse de la fréquence.
Pour un photon de fréquence f1 absorbée par un nuage électronique de même fréquence f1, on aura : Delta(t) = D/V1
Pour un photon de fréquence f2 absorbée par un nuage électronique de même fréquence f2, on aura : Delta(t) = D/V2
La mesure du temps par les deux nuages électroniques étant différente, on conclut forcément que la durée est la même, et que donc la vitesse de la lumière est constante !
C'est un peu nébuleux, tout ça, mais je n'ai pas mieux !
Par ailleurs, il n'est pas très gênant de passer pour un âne. Maxwell a également fait l'âne avec ses petites billes en rotation dans le vide (le spin n'était pas encore connu à son époque) mais c'est bien par cette approche qu'il a pu développer sa théorie des champs électromagnétiques.
Alors... vivent les ânes !